Parfois,
un lied accompagne un couple dans ses bons comme dans ses mauvais
moments : pour Robert et Clara Schumann, c'était « Nimm sie hin denn,
diese Lieder » tiré de « À la bien-aimée lointaine » de Ludwig van
Beethoven. Schumann cite ce lied de Beethoven dans sa deuxième symphonie
- comme déjà précédemment dans sa Fantaisie pour piano qui figure au
programme d'Arcadi Volodos pour cette saison. Pour ce qui est de la
symphonie de Schumann, l’époque où elle fut composée n’était pas
heureuse : le compositeur souffrait de dépressions pendant qu'il
travaillait sur ce projet. Edward Elgar a également lutté contre la
mélancolie avec son Concerto pour violoncelle. Il devait être la
dernière œuvre achevée du compositeur britannique, une symphonie avec
violoncelle solo rappelant Brahms et Tchaïkovsky – on pourrait l’appeler
la « Symphonie pathétique » d'Elgar.
Une chanson qui accompagne un couple dans ses bons et ses mauvais moments, accompagne la vie : Pour Robert et Clara Schumann, il s'agissait de "Nimm sie hin denn, ces chants" de "An die ferne Geliebte" de Ludwig van Beethoven.
La chanson de Beethoven est citée par Schumann dans sa deuxième symphonie - comme dans la chanson pour piano. Comme dans la fantaisie pour piano qu'Arcadi Volodos a écrite cette année, au programme de la saison. Pour ce qui est de la symphonie de Schumann, les années et les temps n'étaient pas bons : Le compositeur souffrait de dépressions pendant son travail.
Edward Elgar a également lutté contre la mélancolie avec son concerto pour violoncelle la mélancolie. Ce fut la dernière œuvre achevée du compositeur britannique, une symphonie pour violoncelle solo qui rappelle Brahms et Tchaïkovski.